Gravir l’Aspin, c’est comme se faire ami avec une star. Il a la notoriété des grands et la tranquillité des humbles. Quel que soit le versant, il ne nous fera jamais mal aux mollets ni au moral. Que ce soit depuis Arreau ou depuis Bagnères-de-Bigorre, on fait tourner les jambes un moment, avant d’attaquer la pente, aidé par le revêtement hyper roulant de ce Pacha des Pyrénées.